Ne me libérez pas, je m’en charge, Meziane Azaïche

Tarif : Tarif C : Plein 12 €, Réduit 9 €, Adhérent 6 €, Groupe 6 €

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Plus invisible que le travailleur immigré, il y a sa femme. 

Ne me libérez pas, je m’en charge !, spectacle vivant aux allures de comédie musicale, répare cette injustice en donnant chair à l’expérience singulière, très peu relayée, des femmes de l’immigration maghrébine en France.

Tout au long du XXème  siècle, les chanteuses de l’exil ont pourtant accompagné l’exil des femmes immigrées, et celui  intérieur des épouses laissées au pays – délaissées ? – par leurs hommes partant pour la France.

Forgé au tournant des années 40 et 50, d’abord avec les hommes qui chantent des duos imaginaires, ce répertoire féminin est ensuite porté des artistes femmes qui bravent les tabous et se lancent comme chanteuses, à Paris puis dans toute la France, et enfin dans leur pays d’origine. Parmi elles : Najat Aatabou, Hanifa, Cheikha Remitti.

Sur scène, comédienne, chanteuses et cinq musiciens ravivent la richesse d’un répertoire qui marqua les combats pour l’émancipation féminine mais aussi ceux contre le racisme et les discriminations. 

Sur une idée originale de Meziane Azaïche.

Création et production Le Cabaret Sauvage (2021)
Conception & Mise en scène : Méziane Azaïche
Écriture, cohérence historique, conseil artistique : Naïma Yahi
Mise en scène : Géraldine Benichou
Direction musicale : Nasredine Dalil
Comédie & narration : Tanina Cheriet
Chant : Nadia Ammour
Chant, guitare : Samia Diar
Musique : Amar Chaoui (derbouka), percussions (chœurs), Abdenour Djemaï (guitare, mandole, chœurs), Rafik Korteby (claviers), Hichem Takaoute (basse, chœurs)
Vidéo : Aziz Smati
Crédit photo ©Phot’Hocine

Soirée proposée dans le cadre du festival des Villes des Musiques du Monde et de la commémoration des 60 ans du 17 octobre 1961, en hommage à ses victimes.

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